a zoé's journey

Être parisienne, c'est vivre à Paris depuis un certain temps, mais plus qu'un lieu d'habitation c'est une attitude.

Je ne sais pas quelle image de la Parisienne vous avez. Pour moi, c'est la femme d'une élégance naturelle, même dans ses mauvais jours, qu'un rien habille. Cette femme c'est un peu l'incarnation du fameux girl power d'aujourd'hui, entrepreneuse, sûre d'elle, qui n'a peur de rien. On pourrait lui donner tous les qualificatifs du monde, libérée, fêtarde, engagée, amoureuse, et bien d'autres encore :

ELLE AIME LA VIE.

Ses essentiels seraient un sac passe-partout, des lunettes de soleil pour lui donner un air mystérieux, un Levi's qu'elle traînerait depuis des années, et surtout un rouge à lèvres rouge pour accentuer son air boudeur de séductrice.

Il existe autant de Parisiennes, qu'il existe de filles à Paris, mais voici la façon dont je la vois.

J'ai profité des soldes pour acheter une paire de mocassins.

Fille à baskets, j'avoue que je ne m'y étais jamais vraiment intéressée, mais pour twister une tenue plutôt chill ce sont les chaussures parfaites ! Et petit plus, c'est hyper pratique car deux usages : très classique de jour pour une tenue pro et en même temps donner un côté chic à une style détente. J'aime bien trouver des fonctions multiples à tous mes achats, histoire de me déculpabiliser j'imagine hahaha.

Je ne sais pas quel est votre point de vue là-dessus mais j'ai beaucoup de mal à accepter l'apparition du "pli de marche" sur mes chaussures, sûrement parce que ça leur donne tout de suite un côté usé. Pour remédier à ça, j'ai choisi mes mocassins avec des franges qui le cachent !

Mon intemporel Metropolis de chez Furla. petit, passe-partout, il est tellement pratique je ne m'en sépare pas.

En ce qui concerne le rouge à lèvres, c'est plus une encre à lèvres de chez Nyx, elle colore sans pour autant rajouter une couche supplémentaire bien agréable à porter !

Ces photos, je les ai voulues sans chichis, ni prise de tête, parce que clairement j'ai essayé de poser de façon "sérieuse" ça n'a pas été une grande réussite...

Bon mercredi !

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Noirmoutier, l'île de Noirmoutier. C'est l'endroit où j'ai passé toutes mes vacances d'été étant petite, avec mes cousins et mon frère en juillet, rejoints par les tontons tatas et parents en août.

Depuis quelques années, ayant grandi je n'y allais plus, c'est bête car c'est une telle chance de pouvoir "aller à la mer" tous les étés... mais comme on dit, on ne se rend compte de ce qu'on perd que lorsque l'on ne l'a plus.

Des anniversaires, le retour en France de ma cousine, c'était le moment idéal pour retourner sur cette île de beauté qui nous avait vues grandir.

Vendredi midi, je rejoins ma cousine et son copain, c'est parti pour un grand weekend de retrouvailles ! Quelques mésaventures avec Waze, (n'oubliez pas de décocher l'option "éviter les péages" si vous ne voulez pas les éviter, cela vous fera gagner au moins 2H, on a testé hahahah!), un passage par le Gois qui offrait un paysage incroyable -passage qui n'est accessible qu'à marée basse, il est recouvert à marée haute- et nous voilà arrivés à bon port.

A peine arrivés et déjà sur la plage, tout de suite des souvenirs remontent, l'odeur de l'océan, la sensation du sable sous les pieds, les maisons au toit en tuiles sur le front de mer, nous sommes déjà comblés.

Le goal de ce weekend était vraiment de retrouver les endroits phares de l'île où nous avions joué, pleuré, rit aux éclats: vécu en somme. En deux jours, c'est short, mais nous l'avons fait !

Balades dans Noirmoutier, vélos dans les marais salants et les chemins de terre, manger une glace sur le port et enfin la plage où nous nous sommes même baignées, nous avons fait un condensé d'un mois de vacances en un weekend.

Des retrouvailles avec Noirmoutier mais aussi avec cette ambiance propre aux vacances, la dolce vita, Mamie aux fourneaux j'ai bien du prendre deux kilos en deux jours hahahaha, mais bon on ne chipote pas avec Mamie "bonne cuisine".

Toutes les sensations étaient là comme si nous n'avions jamais quitté l'île.

Dimanche 18h, il est déjà temps de repartir pour Paris quand on travaille le lendemain, l'impression de n'être arrivée que le matin, c'est passé vite, mais tellement heureuse d'être revenue, une parenthèse enchantée.

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